L'estivale
Tu es enfin cette robe rouge.
Tu es enfin l'été.
ça te découpe encore.
Il y a ce retour pulmonaire des violences à l'encaisse.
Tes cheveux qui font la maffia.
Et ta polaire qui porte le deuil de son cheval.
Tes trois dernières années cavalcadent à présent parfois davantage l'ennui que les désirs.
Et dans les volutes peut-être bien - le partage de tes ans.
Ce qui fait du bon?
Ce qui fait du bien?
Ce qui t'approuve?
C'est là, sans trop de frontières.
Tes yeux sont en robe d'été rouge.